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Le
clavier est considéré comme l'élément
essentiel permettant la communication avec le PC. Il
permet en effet de lui envoyer des commandes ou des
données sous forme de texte, de chiffres, ou
grâce à des symboles divers. Les tout premiers
ordinateurs n'en étaient pourtant pas munis,
et fonctionnaient grâce à des cartes perforées,
basées sur le système binaire.
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A.
La disposition du clavier 
Aujourd'hui,
la plupart des claviers sont disposée de manière
identique. En effet, leur model n'est en fait que la
copie de notre bonne vieille machine à écrire.
L'organisation de ceux-ci a surtout un intérêt
pratique, puisqu'il a été conçu
afin d'éviter que les bras portant les caractères,
ne se touchent en cas de frappe trop rapide ( et non
pour faciliter la frappe ! ). L e clavier sera donc
composer des touches présentes sur la machine
à écrire, ainsi que de touches complémentaires
permettant des fonctions plus spécialisées
telles que l'effacement ou un déplacement du
curseur, etc...
Le pavé numérique se situe sur le côté
droit du clavier et possède de nombreuses fonctions.
Sa première fonction est, comme son nom l'indique,
de rentrer des chiffres ainsi que des symboles numériques.
Une deuxième fonction est possible, commandée
par la touche de verrouillage numérique. Le pavé
numérique peut alors être employé
pour le déplacement du curseur sur l'écran.
Même si la disposition des claviers français,
appelée AZERTY ( en raison de sa première
rangée de lettre) est identique, chaque pays
utilise une disposition de touches différentes
( la disposition américaine est appelée
QWERTY ).
Certains claviers sont appelés sensitifs et possèdent
des touches sensibles, à la pression, à
la conduction électrique, ou encore à
la lumière. La majorité des claviers restent
pourtant sensibles à l'enfoncement des touches.
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B.
La communication avec le PC
La
communication du clavier avec le PC, s'effectue grâce
à un processeur, qui nécessite peu de puissance
pour son fonctionnement. Lorsque ce processeur détecte
l'enfoncement d'une touche, il envoie le numéro
correspondant à cette touche, appelé aussi
scan code au contrôleur de clavier, situé
sur la carte mère. Pourtant le processeur ne peut
pas déterminer à quoi correspond cette touche
En effet, une même touche peut signifier différents
caractères, ou encore la position peut être
différente d'un pays à l'autre. Le scan
code, sera donc transmis au gestionnaire de clavier, un
programme qui pourra déterminer le caractère
correspondant au code. Il existe donc un gestionnaire
différent pour chaque clavier ( selon le pays ou
la disposition des touches imposée par le constructeur).
Le
clavier est donc le périphérique d'entrée
principal, permettant d'entrer de nombreuses informations
au PC. Pourtant, aujourd'hui certains ordinateurs fonctionnent
grâce à l'écriture manuscrite.
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Le
clavier est considéré comme l'élément
essentiel permettant la communication avec le PC. Il
permet en effet de lui envoyer des commandes ou des
données sous forme de texte, de chiffres, ou
grâce à des symboles divers. Les tout premiers
ordinateurs n'en étaient pourtant pas munis,
et fonctionnaient grâce à des cartes perforées,
basées sur le système binaire.
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La
souris n'est pas l'un des premiers périphériques
d'entrées qui sont apparus. En effet au tout
début, les commandes s'effectuaient uniquement
grâce au clavier. L'outil de pointage, appelé
plus familièrement souris, fait son apparition
avec l'interface graphique. Elles peuvent être
à boule, optique, reliées au PC par un
fil ou même par des rayons infrarouges ( voire
des ondes radios). Celles-ci ne sont généralement
pas adaptés aux ordinateurs portables.

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A.
La souris traditionnelle
Inventée
par Xerox, la souris a été commercialisée
sur les PC par Microsoft au même moment que l'interface
graphique avec Windows. La plupart des souris comportent
deux boutons, certaines en possèdent trois, le
dernier étant le plus souvent outil à
des applications spécifiques. La communication
avec le PC peut s'effectuer par liaison radio, par infrarouges,
les plus utilisées sont pourtant reliées
au PC par un câble. Ce câble est alors connecté
à une interface série ou parallèle.
Les souris à interface série sont branchées
sur le même connecteur qu'une imprimante série.
La meilleure solution serait donc de disposer de deux
connecteurs séries. Les souris à interface
parallèle se branchent sur une carte mère
d'interface spéciale, à condition que
l'on dispose d'un connecteur d'extension libre de 8
bits. Il est également possible grâce à
un petit boîtier de conversion de connecter la
souris sur une sortie série ou sur une carte
d'interface parallèle.
Certains PC peuvent être reliés par des
connecteurs compatibles avec ceux des PS/2 d'IBM. Il
faudra donc disposer d'une souris spéciale. L'avantage
est que ce type de connecteur se fixe généralement
directement sur la carte mère, cela permet de
ne pas occuper un connecteur d'imprimante, ou d'installer
une carte d'interface.

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B.Son
fonctionnement
Contrairement
à la souris traditionnelle, la souris optique fonctionne
grâce à deux sources lumineuses et deux récepteurs
photosensibles qui remplacent la boule et les roues de
codage de la souris traditionnelle.
La souris optique fonctionne de la manière suivante
: les deux sources lumineuses produisent deux rayons dirigés
vers le bas. Comme la souris est posée sur une
plaque réfléchissante, les rayons sont donc
renvoyés vers le haut à travers de lentilles
( petites sphères de plastique translucide). Ils
seront ensuite réfléchis vers le bas par
un miroir afin de venir frapper les récepteurs
qui sont, quant à eux, placés perpendiculairement
l'un par rapport à l'autre.
La plaque réfléchissante est l'outil indispensable
au fonctionnement de la souris optique. Elle est constituée
de fines rayures horizontales et verticales et sa dimension
correspond à celle d'un tapis de souris. Les rayons
lumineux seront donc déviés par les rayures,
et les variations peuvent être détectées
par les récepteurs photosensibles. Les impulsions
sont par la suite traduites en signaux compréhensibles
par l'ordinateur.
Ces souris ont surtout pour but de limiter les mouvements
et d'obliger l'utilisateur à lever la main.
D.Les
autres outils de pointage
Il
existe pourtant aujourd'hui de nombreux objets qui permettent
de remplacer la souris. Ceux-ci ont surtout un intérêt
pratique, comme par exemple les trackballs sur les ordinateurs
portables. Le trackball est constitué tout simplement
d'une boule qu'il suffit de faire tourner avec ses doigts.
Certains sont intégrés au clavier ou d'autres
sont disposés sur le côté du clavier.
IBM quant à lui a choisi le petit bouton rose posé
au milieu du clavier. Ce bouton étant sensible
à la pression, il suffit de le presser dans une
certaine direction voulue et attendre que le pointeur
se déplace à l'écran.
Certains systèmes sont encore plus encore plus
expérimentaux comme ceux commandés par le
mouvement des yeux grâce à une caméra.
Alors que les ordinateurs sans clavier utilisent un écran
sensible sur lequel on pointe un emplacement grâce
à un stylet ( On peut même utiliser les doigts).
La
souris peut donc être considéré comme
l'un des périphériques d'entrées
les plus évolutifs, pourtant on peut se demander
s'il existera d'ici plusieurs années puisque grâce
aux écrans sensibles, l'outil de pointage devient
quasiment inutile.
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3)
Le
scanner
Le
scanner, appelé également numériseur
ou digitaliseur, est devenu au fur et à mesure
des années un périphérique indispensable,
et très utile afin de numériser des photos,
expédier une télécopie ou tout simplement
s'éviter de taper un texte à modifier. Il
est généralement beaucoup utilisé
à un usage professionnel, mais également
à un usage personnel.
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A.
Les différentes utilisations
du scanner
Aujourd'hui,
la plupart des scanners disposent de cinq fonctions principales.
Il est tout d'abord capable de reconnaître. En effet,
associé à un logiciel de reconnaissance
des caractères, il permet d'éviter de recopier
un texte à retravailler ou à effectuer des
modifications dessus. Certains numériseur ayant
une résolution de 200 points par pouce permettent
également de décoder des documents avec
de très petits caractères. La qualité
laisse pourtant quelques fois à désirer
selon la capacité de résolution du scanner.
Le numériseur est aussi capable, comme son nom
l'indique de numériser. Cette numérisation
permet de transformer des images ou des photos sous formes
de fichiers, ou encore de réaliser un album photo
sur CD-ROM. Toutes les images numérisées
peuvent être directement utilisables sur des logiciels
de traitement de texte, de présentation ou de mise
en page. Pour un affichage à l'écran ou
pour Internet, une résolution de 100ppp est suffisante.
Par contre, pour une impression couleur de qualité,
il est préférable d'avoir 600ppp. Les professionnels
utilisent souvent 1200ppp.
Un autre utilitaire du logiciel permet de classer tous
les documents numérisés.
Il permet de photocopier, à l'aide d'une imprimante
le numériseur peut en effet tout simplement faire
des copies de textes.
Mais le scanner est aussi capable de télécopier,
c'est-à-dire faxer des documents sans télécopieur.
En effet, en l'utilisant avec l'e-mail, désormais
appelé courriel, on peut télécopier
des documents sans être obligé d'attendre
que la ligne téléphonique soit libérée.
Le
fonctionnement du scanner est assez simple, car il lui
suffit simplement de projeter un rai de lumière
sur une image, et il en transforme le reflet en signal
électrique. Les machines à source lumineuse
fluorescente, plus anciennement utilisée, sont
à déconseillées car elles ne produisent
pas de chaleur, et les couleurs ne sont pas toujours respectées,
et il est donc préférable d'utiliser une
machine à cathode froide.
Pour chacun des petits points, il attribue un numéro,
une couleur et une intensité. La hauteur du rayon
de lumière correspond au nombre de points par pouce
du premier chiffre de résolution ( ex : 100 pour
du 100 X 200). Le deuxième chiffre quant à
lui indique la largeur en nombre de points par pouce.
Il
existe aujourd'hui plusieurs modèles de fonctionnement
-
A main : celui-ci est à déconseiller car
il exige beaucoup de dextérité. Un nouveau
modèle portatif (HP) permet également la
reconnaissance de caractère lorsque l'on n'est
pas au bureau.
-
A feuille mobile pleine page. Il fonctionne comme une
imprimante, la feuille entre par un côté
et ressort par l'autre. Il occupe moins d'espace sur le
bureau mais il est nécessaire de découper
les feuilles d'un livre ou d'une revue pour les numériser.
Les petites photos doivent être collées sur
une feuille pour être numériser en entier.
-
A plat : Comme un photocopieur, il suffit de placer la
feuille à plat sur la vitre et refermer le couvercle.
-
Fax-numériseur-imprimante-photocopieur. C'est un
appareil qui en combine quatre. Le télécopieur
pouvant fonctionner sans ordinateur.
-
Un stylo scanner pour gaucher ou droitier qui permet de
numériser des phrases en 28 langues, des codes
barres et des chiffres manuscrits.
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C. Les facteurs importants à son fonctionnement
Différents
facteurs influent en effet au fonctionnement du scanner
:
- Le monochrome qui comporte 256 tons de gris
- Le nombre de couleurs.
- La résolution qui se définit en point
par pouce. Il ne faut pas confondre la résolution
optimale 9600ppp et la résolution réelle
de 200ppp. Le logiciel ne fait que remplacer chaque point
par un carré contenant 4 ou 16 points plus petits,
et traite ainsi l'image de façon à ce qu'on
ne puisse voir les petits carrés. Une résolution
de 72ppp est suffisante pour des images publiées
sur le Web ou à l'écran seulement.
- Le codage de la couleur. Les couleurs sont codées
sur 24 bits, mais maintenant certains appareils codent
sur 36 bits afin d'affiner certaines zones de couleurs,
il est bien sur inutile d'en posséder un si l'écran
ne code que sur 24 bits. Le numériseur détermine
le rouge, le vert et le bleu ( RGB= Red, Green and Blue).
Lorsque chacune de ces couleurs est codée sur 8
bits, on obtient un codage de 24 bits et 256 tons pour
chacune des couleurs. On peut ainsi déterminer
16 millions de couleurs.
- La gamme de densité du scanner influence aussi
la qualité de l'image. Le 0 est le blanc pur, et
le 4 correspond au noir. Plus il y a de niveau entre 0
et 4, meilleurs seront les résultats.
- On peut également déterminer deux sortes
de vitesse jouant un rôle dans le fonctionnement.
> 1) La vitesse de balayage, qui comprend le temps
de passage du rai de lumière, et le nombre de passe
allant 1 à 3. Mais il n'existe pratiquement plus
de numériseur à trois passes.
> 2) La connexion qui s'effectue généralement
sur un port parallèle est la moins rapide, mais
aussi la moins cher. Elle est souvent associée
à l'imprimante et il est parfois nécessaire
d'imprimer une feuille afin que le système reconnaisse
le numériseur.
L'évolution
du scanner s'effectue sur plusieurs niveaux. En effet, au
niveau matériel, les scanners évoluent surtout
pour leur taille, ils deviennent notamment plus plats. Certains
se transforment même en stylo, ou deviennent même
indépendant de l'ordinateur.. Mais ils évoluent
également au niveau de la qualité, en améliorant
la résolution, ou grâce à des logiciels
notamment de dessins et de retouches des images, inclus
désormais à l'intérieur du système.
Selon une étude américaine, 42% des scanners
sont utilisés à usage domestique et les ventes
ne font qu'augmenter. La plupart se tournent d'ailleurs
vers les numériseurs de table, car leur prix sont
plus abordables.
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