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CONCLUSION
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1) Clavier

Introduction

Le clavier est considéré comme l'élément essentiel permettant la communication avec le PC. Il permet en effet de lui envoyer des commandes ou des données sous forme de texte, de chiffres, ou grâce à des symboles divers. Les tout premiers ordinateurs n'en étaient pourtant pas munis, et fonctionnaient grâce à des cartes perforées, basées sur le système binaire.

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A. La disposition du clavier

Aujourd'hui, la plupart des claviers sont disposée de manière identique. En effet, leur model n'est en fait que la copie de notre bonne vieille machine à écrire. L'organisation de ceux-ci a surtout un intérêt pratique, puisqu'il a été conçu afin d'éviter que les bras portant les caractères, ne se touchent en cas de frappe trop rapide ( et non pour faciliter la frappe ! ). L e clavier sera donc composer des touches présentes sur la machine à écrire, ainsi que de touches complémentaires permettant des fonctions plus spécialisées telles que l'effacement ou un déplacement du curseur, etc...
Le pavé numérique se situe sur le côté droit du clavier et possède de nombreuses fonctions. Sa première fonction est, comme son nom l'indique, de rentrer des chiffres ainsi que des symboles numériques. Une deuxième fonction est possible, commandée par la touche de verrouillage numérique. Le pavé numérique peut alors être employé pour le déplacement du curseur sur l'écran.
Même si la disposition des claviers français, appelée AZERTY ( en raison de sa première rangée de lettre) est identique, chaque pays utilise une disposition de touches différentes ( la disposition américaine est appelée QWERTY ).
Certains claviers sont appelés sensitifs et possèdent des touches sensibles, à la pression, à la conduction électrique, ou encore à la lumière. La majorité des claviers restent pourtant sensibles à l'enfoncement des touches.

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B. La communication avec le PC
La communication du clavier avec le PC, s'effectue grâce à un processeur, qui nécessite peu de puissance pour son fonctionnement. Lorsque ce processeur détecte l'enfoncement d'une touche, il envoie le numéro correspondant à cette touche, appelé aussi scan code au contrôleur de clavier, situé sur la carte mère. Pourtant le processeur ne peut pas déterminer à quoi correspond cette touche
En effet, une même touche peut signifier différents caractères, ou encore la position peut être différente d'un pays à l'autre. Le scan code, sera donc transmis au gestionnaire de clavier, un programme qui pourra déterminer le caractère correspondant au code. Il existe donc un gestionnaire différent pour chaque clavier ( selon le pays ou la disposition des touches imposée par le constructeur).

Le clavier est donc le périphérique d'entrée principal, permettant d'entrer de nombreuses informations au PC. Pourtant, aujourd'hui certains ordinateurs fonctionnent grâce à l'écriture manuscrite.

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Conclusion

Le clavier est considéré comme l'élément essentiel permettant la communication avec le PC. Il permet en effet de lui envoyer des commandes ou des données sous forme de texte, de chiffres, ou grâce à des symboles divers. Les tout premiers ordinateurs n'en étaient pourtant pas munis, et fonctionnaient grâce à des cartes perforées, basées sur le système binaire.

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2) Souris et ses dérivés

Introduction

La souris n'est pas l'un des premiers périphériques d'entrées qui sont apparus. En effet au tout début, les commandes s'effectuaient uniquement grâce au clavier. L'outil de pointage, appelé plus familièrement souris, fait son apparition avec l'interface graphique. Elles peuvent être à boule, optique, reliées au PC par un fil ou même par des rayons infrarouges ( voire des ondes radios). Celles-ci ne sont généralement pas adaptés aux ordinateurs portables.

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A. La souris traditionnelle

Inventée par Xerox, la souris a été commercialisée sur les PC par Microsoft au même moment que l'interface graphique avec Windows. La plupart des souris comportent deux boutons, certaines en possèdent trois, le dernier étant le plus souvent outil à des applications spécifiques. La communication avec le PC peut s'effectuer par liaison radio, par infrarouges, les plus utilisées sont pourtant reliées au PC par un câble. Ce câble est alors connecté à une interface série ou parallèle.
Les souris à interface série sont branchées sur le même connecteur qu'une imprimante série. La meilleure solution serait donc de disposer de deux connecteurs séries. Les souris à interface parallèle se branchent sur une carte mère d'interface spéciale, à condition que l'on dispose d'un connecteur d'extension libre de 8 bits. Il est également possible grâce à un petit boîtier de conversion de connecter la souris sur une sortie série ou sur une carte d'interface parallèle.
Certains PC peuvent être reliés par des connecteurs compatibles avec ceux des PS/2 d'IBM. Il faudra donc disposer d'une souris spéciale. L'avantage est que ce type de connecteur se fixe généralement directement sur la carte mère, cela permet de ne pas occuper un connecteur d'imprimante, ou d'installer une carte d'interface
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B.Son fonctionnement



C. La souris optique

Contrairement à la souris traditionnelle, la souris optique fonctionne grâce à deux sources lumineuses et deux récepteurs photosensibles qui remplacent la boule et les roues de codage de la souris traditionnelle.
La souris optique fonctionne de la manière suivante : les deux sources lumineuses produisent deux rayons dirigés vers le bas. Comme la souris est posée sur une plaque réfléchissante, les rayons sont donc renvoyés vers le haut à travers de lentilles ( petites sphères de plastique translucide). Ils seront ensuite réfléchis vers le bas par un miroir afin de venir frapper les récepteurs qui sont, quant à eux, placés perpendiculairement l'un par rapport à l'autre.
La plaque réfléchissante est l'outil indispensable au fonctionnement de la souris optique. Elle est constituée de fines rayures horizontales et verticales et sa dimension correspond à celle d'un tapis de souris. Les rayons lumineux seront donc déviés par les rayures, et les variations peuvent être détectées par les récepteurs photosensibles. Les impulsions sont par la suite traduites en signaux compréhensibles par l'ordinateur.
Ces souris ont surtout pour but de limiter les mouvements et d'obliger l'utilisateur à lever la main.

 

D.Les autres outils de pointage
Il existe pourtant aujourd'hui de nombreux objets qui permettent de remplacer la souris. Ceux-ci ont surtout un intérêt pratique, comme par exemple les trackballs sur les ordinateurs portables. Le trackball est constitué tout simplement d'une boule qu'il suffit de faire tourner avec ses doigts. Certains sont intégrés au clavier ou d'autres sont disposés sur le côté du clavier. IBM quant à lui a choisi le petit bouton rose posé au milieu du clavier. Ce bouton étant sensible à la pression, il suffit de le presser dans une certaine direction voulue et attendre que le pointeur se déplace à l'écran.
Certains systèmes sont encore plus encore plus expérimentaux comme ceux commandés par le mouvement des yeux grâce à une caméra. Alors que les ordinateurs sans clavier utilisent un écran sensible sur lequel on pointe un emplacement grâce à un stylet ( On peut même utiliser les doigts).

La souris peut donc être considéré comme l'un des périphériques d'entrées les plus évolutifs, pourtant on peut se demander s'il existera d'ici plusieurs années puisque grâce aux écrans sensibles, l'outil de pointage devient quasiment inutile.

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3) Le scanner

Introduction

Le scanner, appelé également numériseur ou digitaliseur, est devenu au fur et à mesure des années un périphérique indispensable, et très utile afin de numériser des photos, expédier une télécopie ou tout simplement s'éviter de taper un texte à modifier. Il est généralement beaucoup utilisé à un usage professionnel, mais également à un usage personnel.

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A. Les différentes utilisations du scanner

Aujourd'hui, la plupart des scanners disposent de cinq fonctions principales.
Il est tout d'abord capable de reconnaître. En effet, associé à un logiciel de reconnaissance des caractères, il permet d'éviter de recopier un texte à retravailler ou à effectuer des modifications dessus. Certains numériseur ayant une résolution de 200 points par pouce permettent également de décoder des documents avec de très petits caractères. La qualité laisse pourtant quelques fois à désirer selon la capacité de résolution du scanner.
Le numériseur est aussi capable, comme son nom l'indique de numériser. Cette numérisation permet de transformer des images ou des photos sous formes de fichiers, ou encore de réaliser un album photo sur CD-ROM. Toutes les images numérisées peuvent être directement utilisables sur des logiciels de traitement de texte, de présentation ou de mise en page. Pour un affichage à l'écran ou pour Internet, une résolution de 100ppp est suffisante. Par contre, pour une impression couleur de qualité, il est préférable d'avoir 600ppp. Les professionnels utilisent souvent 1200ppp.
Un autre utilitaire du logiciel permet de classer tous les documents numérisés.
Il permet de photocopier, à l'aide d'une imprimante le numériseur peut en effet tout simplement faire des copies de textes.
Mais le scanner est aussi capable de télécopier, c'est-à-dire faxer des documents sans télécopieur. En effet, en l'utilisant avec l'e-mail, désormais appelé courriel, on peut télécopier des documents sans être obligé d'attendre que la ligne téléphonique soit libérée.


B. Son fonctionnement

Le fonctionnement du scanner est assez simple, car il lui suffit simplement de projeter un rai de lumière sur une image, et il en transforme le reflet en signal électrique. Les machines à source lumineuse fluorescente, plus anciennement utilisée, sont à déconseillées car elles ne produisent pas de chaleur, et les couleurs ne sont pas toujours respectées, et il est donc préférable d'utiliser une machine à cathode froide.
Pour chacun des petits points, il attribue un numéro, une couleur et une intensité. La hauteur du rayon de lumière correspond au nombre de points par pouce du premier chiffre de résolution ( ex : 100 pour du 100 X 200). Le deuxième chiffre quant à lui indique la largeur en nombre de points par pouce.

Il existe aujourd'hui plusieurs modèles de fonctionnement

- A main : celui-ci est à déconseiller car il exige beaucoup de dextérité. Un nouveau modèle portatif (HP) permet également la reconnaissance de caractère lorsque l'on n'est pas au bureau.

- A feuille mobile pleine page. Il fonctionne comme une imprimante, la feuille entre par un côté et ressort par l'autre. Il occupe moins d'espace sur le bureau mais il est nécessaire de découper les feuilles d'un livre ou d'une revue pour les numériser. Les petites photos doivent être collées sur une feuille pour être numériser en entier.

- A plat : Comme un photocopieur, il suffit de placer la feuille à plat sur la vitre et refermer le couvercle.

- Fax-numériseur-imprimante-photocopieur. C'est un appareil qui en combine quatre. Le télécopieur pouvant fonctionner sans ordinateur.

- Un stylo scanner pour gaucher ou droitier qui permet de numériser des phrases en 28 langues, des codes barres et des chiffres manuscrits.

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C. Les facteurs importants à son fonctionnement

Différents facteurs influent en effet au fonctionnement du scanner :

- Le monochrome qui comporte 256 tons de gris

- Le nombre de couleurs.

- La résolution qui se définit en point par pouce. Il ne faut pas confondre la résolution optimale 9600ppp et la résolution réelle de 200ppp. Le logiciel ne fait que remplacer chaque point par un carré contenant 4 ou 16 points plus petits, et traite ainsi l'image de façon à ce qu'on ne puisse voir les petits carrés. Une résolution de 72ppp est suffisante pour des images publiées sur le Web ou à l'écran seulement.

- Le codage de la couleur. Les couleurs sont codées sur 24 bits, mais maintenant certains appareils codent sur 36 bits afin d'affiner certaines zones de couleurs, il est bien sur inutile d'en posséder un si l'écran ne code que sur 24 bits. Le numériseur détermine le rouge, le vert et le bleu ( RGB= Red, Green and Blue). Lorsque chacune de ces couleurs est codée sur 8 bits, on obtient un codage de 24 bits et 256 tons pour chacune des couleurs. On peut ainsi déterminer 16 millions de couleurs.

- La gamme de densité du scanner influence aussi la qualité de l'image. Le 0 est le blanc pur, et le 4 correspond au noir. Plus il y a de niveau entre 0 et 4, meilleurs seront les résultats.

- On peut également déterminer deux sortes de vitesse jouant un rôle dans le fonctionnement.
> 1) La vitesse de balayage, qui comprend le temps de passage du rai de lumière, et le nombre de passe allant 1 à 3. Mais il n'existe pratiquement plus de numériseur à trois passes.
> 2) La connexion qui s'effectue généralement sur un port parallèle est la moins rapide, mais aussi la moins cher. Elle est souvent associée à l'imprimante et il est parfois nécessaire d'imprimer une feuille afin que le système reconnaisse le numériseur.

Conclusion

L'évolution du scanner s'effectue sur plusieurs niveaux. En effet, au niveau matériel, les scanners évoluent surtout pour leur taille, ils deviennent notamment plus plats. Certains se transforment même en stylo, ou deviennent même indépendant de l'ordinateur.. Mais ils évoluent également au niveau de la qualité, en améliorant la résolution, ou grâce à des logiciels notamment de dessins et de retouches des images, inclus désormais à l'intérieur du système.
Selon une étude américaine, 42% des scanners sont utilisés à usage domestique et les ventes ne font qu'augmenter. La plupart se tournent d'ailleurs vers les numériseurs de table, car leur prix sont plus abordables.